En 2016, l'Université de Liège a publié une étude sur les résidus de pesticides sur les fleurs coupées en collaboration avec Sciensano (dans le temps appelée Institut Scientifique de Santé Publique). Cette étude a montré l'importance de mesures de protection appropriées, telles que le port de gants, pour les fleuristes et autres personnes travaillant intensivement avec des fleurs coupées.
Pour le client qui achète un bouquet et n’entre que brièvement en contact avec les fleurs, les risques sont à priori négligeables.
Pour plus d’informations, consultez nos conseils de protection pour les fleuristes.